Apprendre à se parler autrement

  

Hello ma douce et bienvenue à toi dans ce nouvel article, j’espère que tout va pour le mieux pour toi et que la semaine démarre au taquet ! Je suis de passage par ici aujourd’hui pour te parler de l’importance du discours intérieur et de ce que l’on se raconte en nous sur nous. Attrape ton thé, ton café ou un bon chocolat chaud avec un cookie (tu connais ma passion pour les cookies 🍪) parce qu’on est parti et on va voir plein de choses ensemble. 

 

Avant de commencer,

je tiens à te rappeler que si tu souhaites dès maintenant, prendre ta vie en main, apprendre à t’affirmer et développer ta confiance en toi pour attirer à toi les bonnes personnes, les situations positives et te créer la vie sur mesure que tu désires, tu peux nous rejoindre moi et les dizaines de femmes qui se sont déjà dit OUI au sein de mon accompagnement signature 90 jours pour mener la vie de tes rêves : un accompagnement de 3 mois, que tu réalises à la fois à ton rythme en autonomie via ta propre plateforme privée et personnalisée et à la fois avec le suivi de mon expertise, je t’offre mon temps, ce que j’ai de plus précieux ainsi que tous les outils qui m’ont permis à moi de me libérer de mes angoisses, mes peurs et mes croyances limitantes. Si tu as la moindre question, tu sais que je suis à ton entière disposition et tu trouveras sur ce lien encore plus d’informations. 

 

Tu te reconnaîtras sûrement si je te dis que pendant des années et des années, j’ai été la personne la plus dure, la plus injuste et la plus sévère envers moi-même. Je n’avais absolument pas confiance en moi, et à côté de ça, j’étais hyper, super, méga exigeante envers moi-même. Et donc le tout combiné, spoiler alert, ça fait que rien de ce que j’accomplissais n’était à la hauteur. Ce que je faisais n’était jamais assez. Je n’étais jamais assez. Tout ce que je me répétais à longueur de temps dans mon mental me remettait en question sans cesse, je ne me sentais jamais à la hauteur, jamais suffisante, jamais digne, et cette sévérité, je ne me la devais qu’à moi-même. Tout ce que je me répétais à longueur de temps dans mon mental me remettait en question sans cesse, je ne me sentais jamais à la hauteur, jamais suffisante, jamais digne, et cette sévérité, je ne me la devais qu’à moi-même. Et c’est après mon coaching pour gagner en confiance en moi, puis mes différentes formations et accompagnements que j’ai compris le rôle que jouait ce que l’on se répète à longueur de temps. 

Si nous prenons un exemple concret qui parlera, et j’en suis désolé d’avance, au plus grand nombre d’entre vous, c’est le rapport à son corps. Parfois, et souvent à tort, on va se sentir mal dans notre peau, on se trouve trop grosse, pas assez tonique, un peu flasque, pleine de cellulite et j’en passe. On va être les pires juges envers nous-même, à se dire et à dire à notre corps des paroles que l’on n'oserait même pas prononcer à notre pire ennemie jurée. Et puis le lendemain, rien n'a changé, si ce n’est ton humeur, ton état d’esprit et là, tu te dis « oh, je ne suis pas si mal quand même, oh et puis j’aime bien mes cheveux aujourd’hui, et ma peau, elle est éclatante", etc. Et puis sans savoir pourquoi, alors que ton corps, ton visage ou tes cheveux n’ont absolument pas changé et qu’ils n’ont rien demandé, tu vas croiser ton reflet et te dire « oh ce n'est pas possible en ce moment, je ne peux pas me voir ». C’est un fait, toutes les femmes passent par ces phases, de "je m’aime un peu" (faudrait voir à pas exagérer) à "plus du tout" en l’espace de rien du temps à l’échelle de la vie. 

 

Le problème, c’est que, ton mental lui, et comme nous l’avons déjà vu à plusieurs reprises, il retient ce que tu nourris le plus, et il te ressert ce que tu aimes le plus te répéter. 

 

Bah oui, il est ton copain ce mental et donc il s’appuie sur ce qu’il connaît de toi pour ne pas te décevoir. Alors forcément si pendant des mois, des années, tu te répètes que tu es grosse et moche alors tu te vois comme étant et grosse, et moche. Le problème à force de te répéter ce genre de parole, c’est qu’au bout d’un moment, tu vas tellement en être persuadée que cela va se reporter sur ton poids directement, sur ton incapacité à perdre du poids, à stagner alors que tu as le sentiment de faire tout ce qu’il faut, à te priver toujours plus, etc. Parce que tu ne fais pas seulement que te répéter ces mots, tu agis en conséquence : tu manges moins, tu te prives, te frustres, tu refuses des invitations, et comme tu ne vois pas de résultats alors tu durcis le ton à chaque fois un peu plus. Et c’est à ce moment qu’on arrive à un dérèglement total de ton métabolisme, soit tes pensées ont manifesté ta réalité et maintenant, non seulement, tu ne dépenses plus comme tu devrais, mais à l’inverse, tu stockes et ce que tu redoutais de voir arriver, se produit. C’est comme cal que j’ai eu la discussion avec une femme d’une quarantaine d’année passée une fois qui me disait « tu vois moi, à ton âge j’étais comme toi, je faisais un 36 et je me trouvais toujours grosses, j’ai essayé tous les régimes et regarde aujourd’hui comme je suis, tu pourrais pensé que je manges à longueur de journée mais en réalité je fais le jeune intermittent, je mange une salade le midi et le soir une tranche de jambon et une soupe, et cela depuis au moins 5 ou 6 ans ». Douche froide. Plus elle se prive, plus son corps se bat pour sa survie et réagit et l’effet inverse de ce qu’elle voudrait se produit. 

Ses paroles ont été un électrochoc pour moi, qui me suis toujours, toujours, et encore parfois, battue contre ma morphologie, à pleurer pour 500g repris, et à me priver ouvertement pour perdre encore et toujours ces quelques kilos que j’estimais en trop. En lui parlant, j’avais l’impression de m’entendre et de me voir, dans 20 ans, complètement frustrée et loin de l’épanouissement et la paix que je vise à instaurer dans mon quotidien jour après jour. En lui parlant, j’ai réalisé à quel point nos mots intérieurs, dessinait nos maux extérieurs. Et je prends ici l’exemple du rapport à son corps et à son poids, mais cela fonctionne avec toutes les paroles blessantes que tu utilises contre toi-même au quotidien. Si tu te penses nulle dans ton travail alors tu ne décrocheras (ou ne postuleras même) jamais au job suivant qui te fait pourtant rêver. Et ainsi de suite. 

Bref, tu en as déjà peut-être fait l’expérience, mais le discours intérieur que tu vas te répéter jour après jour sur toi-même va avoir une importance capitale et un impact considérable sur ta vision de toi, de ton corps, de ta vie, de tes compétences et de tes capacités. Comme je te le répète : on a toujours le choix. Et tu as le choix de rester enfermé dans un discours qui ne te sert plus, d’avancer au rythme bâton avec carottes, même si finalement ça n’a jamais vraiment fonctionné ou bien de lâcher ce que tu as toujours connu, et de faire différemment. Parce que ça a un côté rassurant de garder ce comportement de tyran avec soi-même : on a l’impression que cette pression est nécessaire pour nous faire avancer. Parce qu’on a toujours fait comme ça, et que parfois ça a fonctionné comme on voulait, bon ça ne durait pas, mais à un moment, ça fonctionnait non ? Et puis ça fait peur de tenter de se lâcher la grappe, on a peur que ce soit l’anarchie totale, que justement sans pression alors on avance plus du tout, parce que finalement, c’est comme ça qu’on a grandi, c’est comme ça qu’on a été habituées. Ça a commencé dès petite : il fallait avoir des bonnes notes et être sage si on voulait avoir la reconnaissance des profs, être récompensée, etc. Déjà le bâton, et la carotte. Et puis en grandissant, c’était pareil : plus tu auras de bonnes notes, plus tu entreras dans une meilleure école, et plus tu iras dans une bonne école, plus tu auras de chance de décrocher un poste à responsabilité dans une grosse boite, et plus la boite sera grosse et les responsabilités avec, plus tu seras payé. Et l’argent, c’est la liberté. Et blablabla, le bâton et la carotte, encore et toujours. 

Alors, ce n’est finalement pas étonnant si tu continues sur cette lancée, parce que c’est ce qu’on t’a appris, toute ta vie. Tu connais, c’est le cadre, la façon de faire. Et si pour changer, on essayait ensemble quelque chose de différent ? Il existe déjà des tas d’outils ou technique en ce sens comme l’alimentation intuitive par exemple, ou le fait de développer ta pleine conscience grâce à la méditation notamment qui va t’aider à trier les pensées qui te servent de celles qui ne te servent plus. Mais ici, je parle d’essayer quelque chose pour changer radicalement ta façon de te parler en 3 étapes ou plutôt selon 3 techniques que j’ai moi-même mis en place dans ma vie pour changer pour de bon et de fond ma façon de me parler quand je suis seule avec moi-même : 

 

Technique numéro 1 : m’imaginer que je suis ma meilleure amie

J’avais déjà fait un épisode de podcast sur ce sujet et sur l’importance d’apprendre à devenir sa meilleure amie. Imagine-toi si ta meilleure amie débarquait chez toi en larmes en te disant qu’elle a grossi, qu’elle se sent comme une m****, qu’elle se dégoûte, qu’elle se sent trop mal dans sa peau, est-ce que tu lui répondrais : « Bah oui ma vieille, tu n’as aucune volonté aussi, regarde toi, qui va vouloir de toi dans cet état, moi aussi tu me dégoûtes » ou bien tu trouverais tous les mots que tu peux pour la calmer, l’apaiser, la rassurer et te poser avec elle pour mettre en place un plan d’action pour faire évoluer sa situation si elle se sent vraiment mal dans celle actuelle ? Je pense que tu choisirais évidemment l’option numéro deux, puisque j’ose espérer que vous êtes dans une relation saine et bienveillante avec ta meilleure amie. Alors pourquoi est-ce que quand il s’agit de toi, tu choisis l’option une ? Parce qu’en réalité, tu es la personne la plus proche de toi, et celle avec laquelle tu passeras toute ta vie, pour toujours et à jamais, ton corps, c’est ton temple, c’est celui qui te permets de vivre des moments intenses et inoubliables, qui te permets de vivre tout simplement alors pourquoi tu le et te blâmerait pour ça ? Il est grand temps que tu commences à t’apporter à toi tout l’amour, le respect et la bienveillance que tu apportes aux autres. Parce que finalement, ce manque de bienveillance et de respect envers toi-même se ressentira d’une façon ou d’une autre sur tes relations extérieures également : même si tu penses que cela n’a aucun rapport, tu ne peux naturellement pas être plus bienveillante avec les autres que ce que tu t’autorises avec toi-même. Et si les autres te voient, toi, femme exceptionnelle et rayonnante que tu es te juger aussi durement, alors évidemment qu’ils se mettent à penser intérieurement « mais qu’est-ce qu’elle doit penser de moi dans ce cas ? ». Prendre le temps de t’apporter bienveillance, amour et respect modifiera ta perception de toi, mais également des autres et aura un impact positif sur l’ensemble de tes relations : celle avec toi-même et celles avec les autres. Pense à cette technique la prochaine fois que tu voudras te blâmer de n’avoir pas suivie au poil et à la lettre ton plan de départ, pour quoi que ce soit encore une fois (projet, relation, entraînement, etc.).

 

Technique numéro 2 : prendre une photo de moi petite 

On va jouer ici sûr l'émotionnel, mais ne crois-tu pas que ça te briserait le cœur si tu entendais une personne adulte dire des horreurs, vraiment des mots méchants et cassants à une petite fille innocente qui n’a rien demandé ? Et bien, réalise que c’est exactement ce que tu fais. En prenant une photo de toi petite à chaque fois que tu sens une vague de colère ou dégoût t’envahir, tu vas réaliser que ces blessures, tu les infliges à cette adorable petite fille d’amour qui ne demande qu’à être aimée et protégée. Penses-tu que tu aurais envie de lui parler ainsi ? D’utiliser des mots qui la marqueront à vie et changeront sa vision d’elle ? Des autres ? N’aurais-tu pas plutôt envie de la cajoler, de lui dire que tout ira bien, de lui dire qu’elle est belle, forte, talentueuse, courageuse, capable, assez ? Tu es cette petite fille qui a besoin de réconfort et d’amour et tu mérites ce réconfort et cet amour. Tu mérites le meilleur, et ceci n’est pas négociable, rappelle-le toi tous les jours de toute ta vie. 

 

Technique numéro 3 : imaginer que c’est une autre personne qui dit ces mêmes mots, de toi, à toi ou à tes proches 

Et enfin, la dernière technique que je te propose aujourd’hui, c’est de t’imaginer que c’est une autre personne, extérieur à toi, qui te dit ces abominables mots, qui te les envoie en pleine face ou pire, qui les dit derrière ton dos à l’un de tes proches (ta meilleure amie, ta maman, ton chéri) : qu’est-ce que tu ressentirais si tu apprenais cela ? Tu te sentirais blessée ? Humiliée ? Trahie peut-être ? Tu trouverais que c’est injuste qu’une personne aussi proche de toi, qui est censé t’aimer est des propos aussi durs et dégueulasses envers toi non ? Encore une fois, c’est pourtant exactement ce que tu t’infliges à toi. Que tu es des objectifs, des exigences, c’est normal et tout le monde en a. Ce qui n’est pas normal, c’est que tu fasses passer cela avant ton propre bien-être, quitte à te flageller. Tu es parfaite, assez et suffisante telle que tu es actuellement au moment où tu reçois ces mots, et tu ne seras pas plus heureuse quand… je ne sais quoi. C’est un mythe de croire que tu t’aimeras davantage ou que tu seras plus compréhensive et compatissante avec toi-même quand tu auras perdu du poids, ou quand tu auras décroché ce poste, ou quand tu auras la peau plus bronzée, ou quand tu auras un chéri, une chérie, ou quand tu gagneras plus d’argent, etc. C’est un mythe de croire que tu t’aimeras plus à l’intérieur, lorsque tu obtiendras plus à l’extérieur. Tu prends le problème, si je peux dire ça comme ça à l’envers : tu obtiendras plus de choses à l’extérieur quand tu commenceras à t’aimer plus à l’intérieur et à t’apporter cette reconnaissance et gratitude d’être toi, et d’avoir déjà accompli et obtenu tout ce que tu as. Tu te connais, tu connais ton parcours, rien n’est facile, la chance n’entre pas en compte, tu as fait ce que tu as dû, et pu pour en arriver là oui tu es est et il est temps de le reconnaitre, de t’aimer et de te respecter pour cela. Ta vie, elle est maintenant et tout de suite, tu ne sais pas de quoi demain sera fait et si tu t’aimeras plus parce que ceci ou cela se sera produit. En revanche, tu as le choix aujourd’hui de choisir comment tu vas te comporter avec toi-même et ce que cela va t’apporter. Parce qu’après tout, ces flagellations et blessures, que t’apportent elles de positif ? Et si tu essayais quelque chose de différent à partir de maintenant, juste pour voir ce qu’il se passe ? Tu pourrais vraiment être surprise et ça pourrait réellement changer ta vie, ça a changé la mienne.

 

Alors, la prochaine fois qu’une pensée qui te fait de la peine arrive avec son bâton pour te taper dessus, fait la s'asseoir et dis-lui que tu as à lui parler, qu’elle t’as sûrement été utile à un moment, mais qu’aujourd’hui, c’est fini. Alors tu ne veux pas forcément la tuer car c’est une partie de toi mais en revanche, tu veux lui faire faire un relooking extrême parce que c’est Toi qui décide, et qu’aujourd’hui tu n’acceptes plus les coups sans répliquer.

Voilà ma douce, j’espère que cet article t’aura fait du bien, t’aura rassurer sur le fait que tu n’es pas la seule à être aussi dure envers toi-même, tu n’es pas seule, tu ne l’as jamais été et tu ne le seras plus jamais. J’en profite aussi pour te rappeler que tu es assez, tu es suffisante et toute ta personne est suffisamment suffisante au cas où il y aurait un doute. Je te souhaites une très très belle semaine ma douce et te dit à très vite !

 

Avec tout mon amour, 
Mélanie

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