Arrêter de se comparer

  

 Hello ma douce et bienvenue à toi dans ce tout nouvel article, et plus largement bienvenue à toi dans ce mois d’octobre 2022 qui signe officiellement la fin de l’été, mais le début d’une saison tout aussi cool rempli de cookie, toujours, de thé, beaucoup, et de tout un tas de séries Netflix qu’on avait hâte de dévorer sous un plaid la maison remplie de bougies. On y est ! Et quoi de mieux pour démarrer ce nouveau mois que de savourer un nouvel épisode pour apprendre à arrêter de se comparer ? Gros sujet, alors c’est parti attrape ton thé, ton café, et installe toi confortablement. 

 

On est sur un sujet super large, super vaste aujourd’hui, mais qui revient très très très souvent lors de mes discussions avec vous, que ce soit en DM sur Instagram, lors des coachings, ou même lors de discussion plus perso dans ma vie de tous les jours : cette fâcheuse tendance à regarder ce qui se passe ailleurs et du coup à se remettre, remettre toute sa vie, ses choix, son existence en question. Parce qu’on se connaît maintenant, on sait qu’on est des drama queen dans l’âme et que parfois oui, on en fait des caisses, mais la plupart du temps, quand on cherche un sens, à sa vie, à ses choix, il nous apparaît l’illusion que les autres gère bien mieux tout ça et qu’on s’est perdue quelque part sur le chemin. 

 

Se comparer, ça n’épargne personne, mais alors personne et il y a différents cas de figure que j’ai décidé de repartir en 3 catégories pour qu’on les analyse un petit peu plus en détail : 

 

Catégorie 1 : la comparaison malaisante

La comparaison malaisante celle qui va te mettre toi, ou une autre personne dans une position très inconfortable. Je te donne un exemple concret pour que tu comprennes mieux : il y a quelques années comme tu le sais maintenant parce que ce n’est un secret nulle part ici, j’ai fait un rééquilibrage alimentaire accompagné par une diététicienne. Perdre du poids, c’est bien, mais maintenir son nouveau poids de forme, c’est autre chose, je suis donc tombée, malheureusement et malgré moi dans un contrôle excessif de mon alimentation. Je faisais attention à ne pas faire d’écart, s'il y avait un écran, je me remettais drastiquement dans le droit chemin sans oublier une bonne grosse dose de culpabilité sinon ce n'est pas drôle. Bref, la principale à souffrir de cette situation et bien, c’était moi, puisque je me privais de certains moments sociaux ou festifs simplement pour respecter mon plan alimentaire. Et puis j’avais ce groupe de « copines » vous ne me voyez pas, mais je mets des gros guillemets et vous allez comprendre pourquoi, qui pour le coup était aux antipodes de mon régime drastique, elles savaient se faire plaisir, ne semblaient pas culpabiliser pour un cookie avalé et je les admirais de s’affirmer et de s’assumer physiquement parce que moi ça n’avait jamais jamais été mon cas. Je m’étais toujours battu contre ma morphologie, mon poids, mes formes, etc. Un jour, l’une d’entre elle à décrété qu’elles allaient toutes prendre leur distance, car je cite « ça nous complexe que tu fasses autant attention à ce que tu manges et que tu ailles tant au sport ». Sur le coup je me suis sentie vraiment super super super mal et j’ai culpabilisé, car je me suis sentie coupable de leur faire ressentir quelque chose que j’aurais détesté qu’on me fasse ressentir. Et surtout, pour savoir à quel point, le rapport à soi et à son corps est compliqué, je m’en voulais terriblement d’avoir peut être été celle qui ajoute de l’huile sur un feu déjà bien pris. Et puis j’ai réalisé avec les années que cette phrase-là, cette décision, et cette méchanceté aujourd’hui, je peux le dire, elle ne parlait pas de moi, mais de cette personne en question. Elle lui renvoyait, tel un miroir, les efforts et la volonté que je mettais dans mon régime et qu’elle aurait peut être de son côté aimé suivre également ou en tout cas peut être que pour elle je représentais ce qu’elle n’arrivait pas à tenir, et parce que - comme on l’a déjà vu à plusieurs reprises - c’est bien plus simple de blâmer une personne extérieur, la vie, l’Univers, le karma que de se remettre en question, alors le problème dans son histoire c’était moi parce que j’étais trop drastique. Sachant que j’ouvre la parenthèse qui me parait évidente, mais j’étais drastique et je manquais de bienveillance envers et uniquement envers moi, jamais Ô grand jamais je ne me serais permis de faire un commentaire sur l’assiette de quelqu’un, ou bien sa taille de pantalon ou quoi ou qu’est-ce. Moi, j’en ai pris des « Ah mais tu ne vas manger que ça » à l’époque et c’est typiquement le genre de red flag que je remarque aujourd’hui instantanément dans mon quotidien et entourage : ce que je mange, le sport que je fais ne regarde que, et uniquement moi, si tu n’es pas moi, ou mon corps alors je suis navrée, mais tu n’as pas ton mot à dire. Et cela va de même avec ta personnalité. Je l’ai répété à mainte reprise ici, mais tu seras toujours trop ceci ou pas assez cela pour Pierre, Paul ou Jacques, alors l’important, c’est vraiment de t’assurer que toi, tu es ok avec toi-même, le reste, ce n’est pas ton affaire, ce n’est pas quelque chose que tu peux contrôler, ce n’est pas quelque chose pour lequel tu dois dédier et perdre ton égérie si précieuse. C’est donc la première catégorie de comparaison, toutes ces fois où te comparer n’a servi qu’à te ramener à des choses que tu n’étais pas capable de mettre en place, ou d’accomplir par toi-même et qui ont nécessité de la jalousie ou de l’envie. On parlera des solutions après avoir évoqué les 3 catégories, mais je peux d’ores et déjà te donner un indice : il te suffit de transformer cette jalousie en motivation, et de non pas t’en servir pour blesser, car tu te sens blessée. Parce que cette situation en question là que je te décris, si tu savais comme elle m’a fait mal, elle m’a fait me remettre en question, elle m’a fait pleurer, toute cette énergie pour comprendre aujourd’hui que moi ou une autre, il fallait juste un bouc émissaire. Ça marche dans le sens où tu es cette personne qui se gâche littéralement la vie à te comparer maladroitement aux personnes qui t’entourent, mais également pour les personnes qui t’entourent et te considèrent comme un problème, car tu les ramènes à ce qu’ils ne sont pas. Tu as aussi, et tu te le dois à toi, de mettre des limites avec ces personnes qui se comparent à toi, mais qui ne cherchent qu’à baisser ta lumière plutôt que de te demander de l’aide pour les aider à briller autant. Car il y a une énorme nuance : tu peux très bien te servir de ces personnes comme motivation, comme mentor, comme conseiller et ne pas en faire une bête noire dans ton existence. Encore une fois, tout part de toi et donc tu as clairement et grandement le pouvoir de décider que cette personne soit un problème (aka elle à ce que tu n’as pas) ou bien une aide (aka un guide pour te mener sur le chemin où tu veux aller). Tu as toutes les cartes en main.

 

Catégorie 2 : la comparaison motivante

La deuxième catégorie, c’est justement la comparaison motivante celle qui va te servir à t’inspirer, à savoir que c’est possible, que c’est atteignable et donc a aller chercher ce que tu veux. Si je te donne un exemple dans le business : tu peux être le genre de personne à blâmer cette personne qui a le poste au-dessus de toi, ou cette entrepreneure à succès parce qu’elle a la réussite que tu aimerais et que tu n’as pas, ou bien, tu peux te bouger, t’inspirer et te servir de son expérience pour te créer ta propre chance, ton propre chemin, tes opportunités. Parce que ce n’est pas elle ou toi, ce n’est pas parce qu’elle réussie que tu ne réussiras pas. Ce n’est pas parce qu’elle n’aurait pas réussi que tu aurais réussi. Ça peut très bien être vous deux, parce qu’il y a de la place pour tout le monde. En-tout-cas, c’est ma vision des choses. Lors de ma première année d’entrepreunariat, je me suis souvent mise la pression à voir les résultats ouffissimes d’entrepreneures alors que je n’atteignais même pas un dixième de leurs chiffres. Et puis j’ai compris que nous n’étions pas les mêmes personnes, que nous n’avions pas la même histoire, le même parcours, le même vécu et que donc même si le secteur ou domaine est similaire, notre différence, c’est nous car nous sommes unique. C’est dans ce sens ou pour moi, il n’y a pas de concurrence et qu’il y a de la place pour tout le monde, et j’ai décidé d’en faire une force en me disant que si elle pouvait y arriver et en être là, alors je le pouvais tout autant. Persévérance, travail et patience. Ça me fait penser aux exemples de perte de poids et changement total d’apparence sur les réseaux, les espèces d’avant / après notamment sur des groupes privés comme Weigh Watchers à l’époque où j’étais adhérente. Lorsqu’une autre adhérente partageais ses succès, sa perte de poids, son gain de muscles, etc. personne dans les commentaires n’aillait l’assassiner de réponses déplacées ou imbibées de jalousies, mais à l’inverse tout le monde était bienveillant, encourageant et chercher à s’inspirer de sa réussite, de sa méthode, de sa routine. C’est donc comme cela que je vois cette deuxième catégorie : une comparaison qui te guide vers tes objectifs, qui te motive à persévérer, car quelqu’un est passé par là et a réalisé ou atteint ce que tu désires au plus profond de toi. 

 

Catégorie 3 : la comparaison malsaine

La catégorie numéro trois et dernière de ma classification de comparaison c’est la comparaison malsaine, qui est un dérivé de la comparaison malaisante mais qui cette fois-ci ne va pas rejeter le problème sur la personne extérieur, mais te remettre, Toi, profondément en question. C’est typiquement la catégorie que je retrouve le plus chez mes clientes, mes coachées ou de manière générale : se comparer, trouver que les autres font ou sont ou ont toujours mieux, se dévaloriser, s’attarder sur ce que l’on n’a pas plutôt que mettre dans la valeur de tout ce que l’on a et tout ce que l’on est déjà dans l’instant présent. C’est la comparaison qui fait le plus de mal, le plus souffrir, car c’est celle qui répond tout droit à nos peurs et nourrit notre anxiété. C’est le type de comparaison qui va pousser à la remise en question excessive : comparer la vitesse à laquelle cette personne s’est remise en couple alors que toi, tu es toujours occupée à guérir, comparer la perte de poids, la capacité de cette personne à avoir retrouvé un job, etc, etc. Tant de choses qui ne sont tellement, mais alors tellement pas mesurables par l’extérieur. Car peu importe ce que tu crois voir ou savoir d’une personne, tu n’as absolument aucune idée de ce qu’elle vit pour la simple et bonne raison que tu n’es pas elle, tu n’as pas son histoire, son vécu. Tu es toi, l’unique et suffisante toi et peut-être que ce que tu envies à cette personne est simplement une façade alors que toi, tu es occupée à investir ton temps, ton énergie et tes ressources pour te construire quelque chose de vrai et de durable. Il y aura toujours l’image de, les cases, ce que les gens pensent de toi et ce que tu penses d’eux, mais la réalité, c’est que se comparer à une autre personne qu’à la toi d’hier, c’est une perte de temps, d’énergie et d’estime de toi immense. Parce que toi seule sais ce que tu as surmonté, ce que tu as traversé et comment, et même pourquoi tu en es arrivé là. Je vais reprendre une phrase que j’ai répétée à plusieurs reprises dans un autre épisode de podcast, mais la vie n’est pas une course, chacun a son timing et l’important, c’est que tu arrives où tu veux arriver. L’idée de la réussite n’est pas la même pour tout le monde, et te comparer à ce qui n’est pas comparable ne t’apportera pas la motivation nécessaire pour aller décrocher tes rêves, mais plutôt te fera perdre confiance en toi et en tes capacités pour ne pas avoir ce que la voisine a. C’est cette dévalorisation qui est la cause de ton mal-être, cette comparaison malsaine qui t’empêche de voir à quel point ta vie, telle qu’elle est, est déjà géniale, à quel point tu es, telle que tu es là tout de suite maintenant, incroyable et assez. C’est cette dévalorisation qui est la cause de ton mal-être, cette comparaison malsaine, qui t’empêche de voir à quel point ta vie, telle qu’elle est, est déjà géniale, à quel point tu es, telle que tu es là tout de suite maintenant, incroyable et assez. En arrêtant de te comparer à une personne et une vie qui n’est pas toi ou la tienne, tu vas te reconnecter à toi, à ta valeur (qui je te le rappelle réside à l’intérieur de toi et non est en ce que tu as ou ce que tu fais), et te reconnecter au moment présent, à ton moment présent et de mettre de la valeur dans tout ce que tu es déjà, et tout le chemin déjà parcouru. Parce que peut-être que la partie de toi qui se compare de façon malsaine n’est pas satisfaite d’aujourd’hui, en revanche là toi d’il y a quelques mois ou années elle, est super fière de tout le chemin parcouru, de tous les challenges relevé, de tout ce que tu as appris et accompli au cours du temps. Et c’est sur cette version que tu te dois de te concentrer, car c’est cette partie de toi qui va te faire grandir, c’est cette partie de toi qui va te donner le pourquoi et l’envie de continuer à gravir la montagne, c’est cette partie de toi qui mérite de briller et donc celle sur laquelle tu devrais accorder ton énergie. C’est vraiment une notion importante et sur laquelle je me permets d’insister, par exemple si je reprends un sujet qui m’a toujours toujours causé du soucis, c’est mon rapport à mon corps. Il y a quelques mois, je me clamais d’avoir repris du poids, je me sentais triste, dégoûtée, en colère, surtout contre moi-même de ne pas réussir à perdre ces quelques kilos pris au cours de l’année dernière et de tous les changements. Je me comparais sans cesse à de vieilles photos de moi, à des exemples d’avant après sur Instagram ou même à des copines qui réussissaient à perdre du poids sans efforts alors que je m’épuisais littéralement dans cette bataille. Aujourd’hui, plutôt que de me comparer à des personnes dont je ne connais le parcours ou les habitudes et donc de me dégoûter de moi-même et donc de faire n’importe quoi (c’est-à-dire osciller entre régime drastique et crise boulimique) je me concentre sur la Mélanie d’il y a justement quelques années : certes avec quelques kilos en moins, mais avec une confiance et une estime d’elle à ras les pâquerettes, sans parler de ses troubles du comportement alimentaires. Alors finalement, oui, je peux être fière de moi, de mon nouveau rapport à mon assiette que j’ai travaillé et construit ces dernières années et puis en apprenant à m’accepter et à m’aimer comme je suis, je ne ressens plus le besoin de regarder ailleurs ce qu’il peut bien se passer en termes de nouvelle technique à la mode pour se priver et culpabiliser de se nourrir. J’ai ici pris cet exemple, mais ça pourrait également fonctionner, et surtout d’ailleurs maintenant que j’y pense, avec le pro et le monde de l’entrepreneuriat.

 

Maintenant, qu’est-ce qu’on fait du coup pour stopper radicalement ce mécanisme auto-destructeur, sortir de ces catégories malaisantes ou malsaines pour finalement avoir un rapport à la comparaison qui nous permet simplement de s’inspirer et de se motiver pour atteindre nos propres objectifs ? Et bien pour cela, j’ai 4 réponses à te proposer, qui peuvent se compléter et devenir indissociables :

 

1/ apprendre à se connaître
La première étape, c’est évidemment la base des bases des bases puisque tout part de toi, c’est évidemment de te connaître parfaitement et profondément. C’est en ayant conscience de qui tu es et de ta valeur infinie que tu vas donc te contenter (et attention ce n’est pas un gros mot) de toi, telle que tu es, parfaite dans l’instant présent sans avoir besoin de t’améliorer ou de te comparer et te blâmer de n’être pas assez ceci ou trop cela. C’est en travaillant donc avant tout sur toi et sur ta confiance en toi, ton estime de toi que tu apprendras à faire ce qui est bon et dans ton intérêt à toi, pour toi, et non pas parce que Pierre, Paul ou Jacqueline ont mis en place cette technique et que tu es si désespéré d’être toi que tu suis tout leur moindre fait et gestes à la lettre. Si tu as besoin d’aide et d’outils pour apprendre à te connaître, j’ai créé un e-book gratuit très complet sur le sujet, et sinon, plus radicale et efficace tu peux également prendre le pouvoir de ta vie en nous rejoignant, moi et les femmes qui se sont déjà choisi avant tout dans mon programme signature 90 jours pour mener la vie de tes rêves. Si tu te demandes encore si c’est fait pour toi, réserve ton appel découverte gratuit avec moi, je suis certaine d’avoir quelques pistes à te donner pour aller plus loin.

 

2/ être dans la gratitude
La deuxième méthode pour arrêter de te comparer inutilement et de remettre de la valeur dans qui tu es, c’est de pratiquer et donc de ressentir la gratitude. Tu as peut-être déjà entendu ça quelque part, mais… le positif attire le positif ! Les personnes qui sont pleine heureuse, comblées et épanouies dans leurs vies n’ont pas le temps, ni l’envie d’ailleurs, d’aller chercher ou créer des noix dans la vie des autres. Elles sont bien trop concentrées et occupées à créer leur propre bonheur sans avoir le temps de s’occuper à se comparer aux autres ou pire les faire redescendre de leur nuage parce qu’elles n’arrivent pas elles-mêmes à atteindre ce nuage. On vous voit les gens heureux, et on vous reconnaît, vous êtes ceux qui n’ont pas le temps de jalouser, mais qui au contraire rayonne leur bonheur sur les autres, et ne veut qu’une chose : que tout le monde vive ce sentiment de plénitude et de joie. Plus tu vas développer de la gratitude pour ce que tu es et que tu as, plus l’énergie d’abondance va se mettre en marche dans ta vie et plus tu recevras. C’est un petit comme quand tu es célibataire par exemple, et que ça te saoule et que tu es aigri à ce propos et donc forcément, tu rayonnes un truc pas trop palpable comme de la colère, du manque, de la tristesse et on n'a pas trop envie de s’en approcher parce que tant que tu n’es pas ok et bien fondamentalement avec toi-même, alors tu ne seras bien et heureuse avec personne. Et puis, arrive ce jour où tu as fait le travaille qu’il faut sur toi, et tu rencontres l’amour, et à ce moment-là tu attires des tas de potentiels candidats, tu vois de quoi je parle, cette phase de « mais vous étiez où quand j’étais solo alors que maintenant c’est trop tard !? » Et bien, on est exactement sur ce même principe ici avec la gratitude. Alors rappelle-toi toujours que le positif attire le positif et remercie toi, remercie ta vie, et attend que le prochain BG te tombe tout cru dans les bras.

 

3/ s’occuper de développer un projet
La troisième méthode, elle va être de t’occuper, mais pas n’importe comment : t’occuper à développer un projet qui te tient à cœur. La première chose, c’est que comme tu seras occupé, tu n’auras pas de temps à perdre à stalker la vie des autres, et la deuxième chose, c’est que ton énergie sera utilisée à bon escient : utilisée à te créer une vie sur mesure grâce à un projet de cœur qui te correspond plutôt que t’apitoyer sur ton sort en regardant le feed Instagram des autres. C’est ce qu’on appelle donc un échange gagnant-gagnant. Il ne te reste plus qu’à trouver le projet qui te prendra du temps et donc qui t’en fera gagner plutôt que d’en perdre 🤓. Je te laisse méditer là-dessus et on passe à la quatrième méthode.

 

4/ s’en servir comme motivation
Qui est donc de te servir de ce que tu vois et envie pour alimenter ta visualisation créatrice. On en a déjà parlé à plusieurs reprises, mais je te refais rapidement le ton ici : la visualisation créatrice, c’est un outil puissant qui va te permettre de visualiser précisément un objectif, de t’imaginer très clairement en train de l’atteindre, et de conserver l’émotion ressentie très fortement en toi afin d’atteindre ce moment dans ta vraie vie pour de vrai. J’ai déjà beaucoup de contenu sur cet outil alors je ne vais pas m’étaler, mais par exemple, sache que les plus grands sportifs avant une compétition importante pour leur carrière utilisent la visualisation créatrice afin de se visualiser en train de remporter cette compétition. Ils s’imaginent dans les moindres détail : ce qu’ils portent, où ils sont, comment ils se sentent, qu’elle est l’ambiance, les bruits qu’ils peuvent percevoir, les détails de la météo, des personnes qui les entourent, etc. et se voient clairement en train de réaliser leur mission, atteindre leur objectif et célébrer cette victoire. C’est comme un film, qu’ils peaufinent jour après jour, en prenant soin d’ajouter des détails et d’être vraiment focus jusqu’à ce que ce moment se produise dans la vraie vie. Et c’est donc exactement ce que je te conseille ici aujourd’hui : te servir de ce que tu envies chez cette ou certaine personne (leur liberté financière, leur corps, leur couple, leurs amitiés ou whatever) et de les adapter à toi, à ta réalité, à tes rêves pour les transformer en objectifs, plutôt que de les laisser à l’ordre des rêves atteignables seulement par les autres, mais pas par moi. Car tu es tout aussi capable et légitime que n’importe qui et donc tu mérites tout autant que n’importe qui d’obtenir ce qui compte pour toi et ta vie.

 

Avec tout mon amour, 
Mélanie

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