Connaître ses valeurs et s'y accorder

   

Hello ma douce j’espère que tu vas bien en ce jour férié et que tu profites de cette journée pour faire ce qui te plaît ! Que ce soit passer du temps seule, entre ami(e)s ou avec tes proches, l’important c’est que tu te sentes heureuse, là tout de suite.

   

Cette semaine, j’ai envie de parler de valeurs avec toi, pas de valeur par rapport à ce que tu vaux, car tu le sais maintenant ta valeur elle réside uniquement à l’intérieur de toi et elle ne peut pas être impacté par ce que tu possèdes ou ce que tu fais. Tu es née avec ta valeur, en tant que toi, Femme unique que tu es, et tu possèderas toujours cette valeur unique et exceptionnelle, peu importe qui t’entoure, que tu sois en couple ou non, que tu fasses des millions ou non, quelle que soit ta taille, ton poids, ton âge, ton nombre d’amis ou de maisons, que sais-je encore, ta valeur elle est intouchable et inéchangeable.

 

Mais cette semaine, je voulais parler vraiment de tes valeurs qui s’apparentent à tes besoins, ce qui est important pour toi, ce qui te permets de te sentir toi, de te sentir alignée. 

 

J’en ai fait une newsletter la semaine dernière à ce sujet, où je t’expliquais que ma valeur numéro une c’était la liberté, encore une fois, si tu n’es pas encore inscrite à ma newsletter > voici le lien. La newsletter c’est un petit courrier d’amour, de moi à toi, où je m’en remet à ma première passion : l’écriture, pour te livrer un bout de mon histoire, mes découvertes, prises de consciences, questionnements et mes conseils associés chaque semaine. C’est gratuit, c’est même sans engagement car s’il s’avère un jour que tu en ai marre, hop tu peux cliquer sur un bouton et sortir de ma base de données. Et cerise sur le gâteau, j’offre super souvent des cadeaux, tout benef donc !

 

Bref, revenons en à nos moutons. Dans cette newsletter donc justement, je te disais que ces dernières années j’avais appris, parfois à mes dépends, que la liberté est une valeur, plutôt LA valeur sur laquelle je refuse de transiger : la liberté de faire ce qui me plaît, de penser ce que je pense, d’être qui je suis, de pouvoir changer d’avis, de pouvoir me réinventer, de pouvoir évoluer, de pouvoir grandir, de pouvoir tester, de pouvoir mener la vie qui me convient à un instant T, d'en changer si ça ne me convient plus et ainsi de suite. Et pour la toute première fois de ma vie, malgré que ce soit une valeur et un besoin que je connaisse depuis assez longtemps maintenant, je suis arrivée au point de me f*utre enfin la paix et d’être, simplement. J’ai compris avec le temps que les relations étouffantes, qu’elles soient amicales ou amoureuses, les managements oppressants qui sont toujours sur ton dos ou de manière générale toutes les obligations ou contraintes qui brident le quotidien et t’empêchent quelque part de t’écouter, d’écouter tes désirs, tes envies, ce n’étaient pas pour moi. Oui, mais, le problème c’est que pour autant toute notre vie on nous a appris à être et à évoluer dans un cadre et que lorsqu’on essaye de se détacher de cela, de sortir du cadre, et bien ce n’est pas aussi facile qu’il n’y parait.

 

J’ai eu par exemple, dans ma vie professionnelle, beaucoup de mal à me détacher d’un rythme aux horaires plutôt fixes, à des jours de travail fixes, à ne pas culpabiliser quand je ne respectais pas ces mêmes horaires imposés par... moi-même. Bref, j’étais devenue mon propre bourreau. J’ai eu du mal finalement à me détacher de cette croyance qui me collait à la peau : il faut travailler dur pour réussir. 

 

Et donc, c’est finalement cette croyance qui me coupait de toute liberté envisageable, il fallait travailler dur, jusqu’à épuisement, sans répit et même avec ça, ça demanderait du temps de réussir à ce que mon entreprise soit prospère. Il faut travailler dur à la salle de sport et faire beaucoup d’effort pour mériter de se faire plaisir. Il faut être dure dans la restriction pour avoir l’autorisation derrière de lâcher le contrôle. Et ainsi de suite. Dans mon discourt tu entends les « il faut » et les contre-parties, car finalement c’était ça : je ne m’autorisais pas à avoir ou être pleinement ce que je désirais, car on nous a toujours apprit que tout avait un prix et le prix il devait se payer cher.

 

Plus tu payes cher, plus tu reçois, c’était un peu ma logique.

 

Jusqu’au jour où, riche d’un gros travail sur moi-même, à ouvrir ma conscience sur mon système de pensées et mon fonctionnement, je me suis demandé qui avait décidé ça ? Qui avait décrété que c’était une vérité générale que pour être heureux/se et avoir ce que l’on veut, il fallait en passer par la case souffrance ? Qui, un jour, c’était levé en décrétant que les choses simples, n’apportaient pas de résultats à la hauteur ?

 

Bah j’ai creusé, et en fait c’était… personne. Ou plutôt non, c’est faux, c’était nous-même. Et avant d’être nous-même ce sont les personnes avec qui on a grandi. 

 

Ah donc, le fait de se mettre une pression énorme, de ne pas écouter son corps, ses ressentis, de suivre un chemin tracé, de fonctionner en « il faut », d’avancer sous les contraintes, les restrictions, les coups de bâton, tout ça ce n'est pas volontaire et ça vient de nos croyances qui découlent de notre système d’éducation ?

 

Tout à fait et je m’explique tout de suite.

Depuis petite, on t’apprend à être la gentille petite fille, bien sage, belle comme un cœur, souriante, polie, qui ne fait pas de vague, qui ne se fait pas remarquer, etc. On nous apprend à avoir de bonnes notes à l’école, à faire des études, à décrocher des diplômes pour ensuite décrocher un travail, avoir un CDI pour pouvoir avancer dans la vie et puis, on fini par se faire happer par la routine, sans trop se poser de question, parce que c’est comme ça, parce que c’est ce qu’on nous a apprit, parce que c’est ce qu’il faut, parce que c’est ce que l’on connaît et que parfois même si c’est inconfortable, ça le reste quand même d’une certaine manière. 

 

Parce que dans tout ce que j’ai cité ci-dessus, il y avait une chose de vrai : le fait que tout à un prix. La liberté aussi à un prix, que j’ai découvert en la cherchant, parce que qui dit liberté dit au revoir la sécurité. Car c’était finalement ça le prix de ne pas être totalement libre : avoir un filet de secours autour de soi.

 

Tout a un prix, et finalement, ce n’est pas un prix meilleur que l’autre, mais savoir quel prix toi tu es prête à mettre pour ce que tu veux.

 

Pour moi, aujourd’hui, il me serait in-envisageable de faire une croix sur ma liberté, mon rythme de vie, mon équilibre, la possibilité de m’organiser comme je le désire et surtout de pouvoir travailler d’où je veux et de voyager autant pour avoir la sécurité d’un salaire, d’une maison, etc. Mais encore une fois, il n’y a pas de bonne ou mauvaise décision ici : simplement la décision qui, à toi, te conviens le mieux. Et ça, tu ne vas pas le découvrir par hasard un beau matin en te levant, non, ça nécessite de t’ouvrir, de te poser les bonnes questions, de te remettre en question aussi, de comprendre, de faire du tri, de demander, de tester, d’essayer, d’échouer, de recommencer jusqu’à ce que tu trouves ta bonne réponse. 

 

Et c’est exactement ce que j’ai fais ces derniers mois : tester, tomber, recommencer, jusqu’à arriver à ce fameux sentiment de « ça y ai, j’y suis, c’est ça ma vision de la liberté, c’est ça ma vision de la vie ».

 

Bien sûr, que ce n’est pas quelque chose de simple, d’intuitif, de linéaire ou de régulier, parfois on a le sentiment d’avoir décrocher le pompon et d’autres, de s’être prit le pompon en pleine face et d’être en train de s’étouffer avec. Je dis simplement que c’est quelque chose qui te libère, qui rempli ce trou à l’intérieur, ce sentiment de passer à côté de sa vie ou de faire quelque chose qui ne te conviens pas réellement. C’est sûr que ce n’est pas évident, facile, intuitif, tout comme certaine personne choisissent d’être avec une personne pour ne pas être seule et ne se posent pas réellement pour savoir, pour sentir, si cette personne est vraiment celle qui leur faut ; et bien il en va de même avec le quotidien : on le suit parce que c’est comme ça, parce que c’est là, parce qu’il y a eu l’opportunité à un moment donné, mais on se demande pas vraiment si c’est ça qu’on veut.

 

Mais pourquoi ?

Bh parce que ça fait peur, parce que c’est sortir de sa zone de confort, parce que c’est partir à l’aventure, parce que c’est se jeter dans les airs sans parachute. 

 

Quand j’entends certaines personnes aujourd’hui me dire que j’ai de la chance ou encore "quelle vie", je suis d’accord avec elles, j’ai beaucoup de chance. Mais, cette chance elle n’est pas tombée du ciel, je suis allée la chercher. J’ai décidé et pris le risque de quitter ma vie confortable. J’ai pris le risque de quitter un CDI dans une grosse entreprise. J’ai fais le choix de partir loin de tous mes proches et loin de tout ce que je connaissais. J’ai pris le risque de m’installer à mon compte, tout en m’expatriant dans un pays où je ne connaissais personne et ne parlais pas la langue. Je ne suis pas là pour me plaindre, loin de là, ni pour me vanter, loin de là, je dis simplement que j’ai choisi cette vie, j’ai choisi d’avoir cette vie, j’ai choisi d’avoir de la chance.

 

Et ce choix tout le monde là.

J’entends souvent des femmes me dire « mais pour moi ce n’est pas pareil », et je me demande en quoi sommes-nous différentes ? On a toute la chance d’avoir deux bras, deux jambes, une tête bien remplie, un cœur et un corps en bonne santé, alors à partir de là, qu’elle est la différence ?

La différence principale, selon moi, et encore une fois je ne parle de pas de celles qui sont ok et alignées dans leur vie et leur quotidien, mais de toutes celles qui ne se sentent pas à leur place. Alors la différence entre cette seconde catégorie et les femmes qui, comme moi, vivent un quotidien créé 100% sur-mesure et qui nous ressemble, c’est de savoir qu’on à le choix.

 

Je n’ai pas plus le choix que celles qui pensent que pour moi ce n’est pas pareil, on a toute le même nombre d’option dans la vie, ce n’est pas une question d’argent, je ne suis pas riche, je ne suis pas née riche et ce que j’ai, je l’ai acquis par mon travail.

 

En revanche je suis riche d’une chose : ma capacité à rebondir, à croire que tout est possible et qu’avec du travail on peut accomplir tout ce qu’on désire.

 

Et c’est pour ça que je suis là aujourd’hui, pour transmettre cette capacité. 

C’est justement pour que tu puisses avoir cette même capacité, cette même foi en toi, en la vie, en l’avenir, cette confiance en toi inébranlable, que je me suis lancée. C’est pour te montrer le chemin, pour te révéler à toi ton propre potentiel, pour t’aider à ouvrir les portes, que j’ai créé mon programme d’accompagnement sur-mesure 90 jours pour mener la vie de tes rêves. Parce que ce qu’il te manque aujourd’hui pour connaître tes valeurs, ce n’est pas la chance ou des moyens financiers, c’est ta capacité à croire que tu es capable de construire cette vie là, celle dont tu rêves, pour toi. 

 

On n’a pas toute le même idéal de vie : pour certaine le rêve est d’être en couple et de construire un foyer stable, confortable et sans surprise ; pour d’autres c’est de fonder une famille ; pour d’autres c’est de voyager, faire des rencontres et découvrir le monde ; pour d’autres c’est d’occuper un poste à haute responsabilités à travailler 15 heures par jour et pour d’autres encore c’est de ne travailler que 10 ou 15 heures par semaine, etc. C’est pour cela que je te disais au début de cet article qu’il n’y a pas de bonne réponse, pas de bon prix, simplement le prix que tu es prête à payer pour obtenir ce que tu veux.

 

Avoir des enfants sera dire au revoir à une certaine part de liberté et d’insouciance, ne pas en avoir sera dire au revoir à un amour unique. Voyager c’est accepter de manquer certains événements du quotidien, ne pas voyager c’est se couper de la possibilité de s’ouvrir à d’autres cultures. Et ainsi de suite. Tout se paye, il est simplement temps que tu découvres quel prix tu veux payer, pour toi, combien tu es prête à investir pour toi, pour la vie dont tu ne peux arrêter de penser, de rêver. 

 

Parce que finalement, tu sais de quoi je parle, c’est ce projet auquel tu n’arrêtes pas de penser mais qui t’effraie, c’est ce crush à qui tu voudrais envoyer un message mais que tu repousses à chaque fois, c’est cette discussion avec ta boss pour avoir la promotion du groupe mais que tu n’oses pas demander, etc. Tu as toujours quelque chose en tête mais ce sont tes peurs, tes croyances, de ne pas mériter, de ne pas être digne, de ne pas être à la hauteur, de devoir te contenter de ce que tu as, de ne pas être assez finalement qui t’empêchent de passer ce cap.

 

Mais laisse moi te rappeler une chose : rien de bon ne peut découler de la peur.

Aucun résultat positif ne peut découler d’une action ou d’une émotion ou d’une pensée négative. On voit aujourd’hui toutes ces belles success story, ces happy ending sur des personnalités qui ont réussies. Mais la chose qu’on en commun toutes ces personnes c’est que ce n’est pas tombé du ciel, elles sont allées chercher cette vie, elles sont allées chercher cette chance. Oui, elles se sont pris des "non", des murs, des ravins, des tempêtes, mais elles n’ont pas cessées d’y croire et d’essayer parce que ce qu’elles méritent, ce dont elles ont besoin, profondément besoin, était derrière pour les pousser. C’est tout le but de poursuivre ces rêves, c’est de savoir ce que derrière cela va nous apporter. 

 

C’est donc la base d’une vie épanouie : t’ouvrir aux possibilités et te demander ce que tu veux réellement, ce qui compte pour toi ?

Tu peux par exemple te poser des questions comme : 

 

  • Quelle sont les concessions que j’ai l’impression d’avoir du faire dans ma vie ? 
  • Qu’est ce que cela m’a apporté ? 
  • À l’inverse qu’est-ce que cela m’a empêché / retiré ? 
  • Qu’est-ce que je ne veux plus jamais avoir à faire dans mon quotidien ?
  • À l’inverse quand est-ce et où est-ce que je me sens le mieux ? 
  • Pourquoi ? 
  • Quels étaient mes rêves d’enfant ? 
  • Pourquoi je ne les ai pas suivis ? 
  • Si aujourd’hui j’en avais la possibilité, qu’est-ce que je choisirai ? 
  • Qu’est-ce que je pourrais mettre en place aujourd’hui pour me rapprocher de cette possibilité ? 
  • Qu’est-ce qui compte pour moi ? 
  • Comment je me vois dans 5 ans ? Dans 10 ans ? Dans 20 ans ? 

 

Savoir qui tu es, c’est la base. C’est vraiment le point de départ comme on en a parlé à mille et une reprises : c’est ce qui va te permettre de t’ancrer, de t’accepter, de t’aimer, d’attirer des gens qui sont bons pour toi, de vivre des situations qui sont faites pour toi, de vivre une vie qui te ressemble. Te poser des questions essentielles pour éclaircir ta vision, tes envies, tes besoins est également ce qui va te permettre de ne plus te voiler la face mais bien de faire le point, de te révéler, de ne plus te cacher derrière des excuses qui sont la réponse directe à tes peurs et tes croyances. C’est d’ailleurs en accueillant tes émotions, tes ressentis, les premières pensées qui te viennent quand tu penses à ce que tu voudrais que tu vas pouvoir identifier tes croyances, tes blocages et venir leur apporter une écoute, un « je t’ai vu, je t’ai reconnu, je t’entends » et venir soigner cela en toi, pour toi, pour ton avenir, pour ta vie.

 

Car encore une fois, toi seule peut faire ce travail.

Persuader une femme malheureuse en couple qu’elle mérite mieux n’est pas ton job, ton job c’est de la soutenir quand elle aura eu son déclic. Idem, tu ne peux pas forcer une personne à perdre du poids pour qu’elle soit en meilleure santé, ou la forcer à arrêter de fumer, en revanche tu pourra être là, du mieux que tu le peux, lorsque cette personne te demanderas de la soutenir ou de l’accompagner dans ce chemin. Et bien pour toi, c’est exactement la même chose :

 

personne ne peut faire les choix pour toi. Personne ne peut diriger ta vie pour toi.

 

Parfois, la vie va t’enlever certaine chose, pour te pousser dans la bonne direction, et peu importe à quel point c’est dur sur le moment, plus tard, tu seras reconnaissante pour ce challenge, tu remercieras la vie parce que, sans ça, sans cet événement, alors, tu n’en serais peut-être pas là. C’est le principe même d’avoir la foi. C’est le principe même d’avoir confiance. Parfois, la vie t’enlève ou ne te donne pas ce que tu veux, pour pouvoir faire de la place et te donner ce dont tu as besoin. 

   

Alors peu importe le nombre d’épines, que tu t’es pris, que tu te prendras, tout à toujours un sens pour toi, pour ton avenir, et je t’assure que tu mérites d’aller chercher cette vie dont tu penses en arrière plan de ton quotidien actuel. Et j’aimerais terminer cet épisode sur ces quelques mots qui résonnent très fort en moi et qui j’espère, éveilleront quelque chose en toi également :

« Ne pas regretter d’avoir perdu du temps, d’avoir été lent ou moins rapide que d’autres. Chacun comprend ou prend conscience à son rythme. La vérité - sa vérité - est un cheminement. Elle émerge progressivement. L’important n’est pas d’avoir mis le temps, mais de l’avoir trouvée. ». 

 

Je te souhaite un très beau mois de novembre et je te donne rendez-vous mardi prochain, pour un nouvel article ! Belle semaine à toi et surtout, prends soin de toi.

 

Avec tout mon amour, 
Mélanie

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