Faire face à la critique

  

Hello ma douce et bienvenue à toi dans ce tout nouvel article, le dernier de ce mois d’octobre, mais est-ce que quelqu’un peut me dire où passe le temps s’il vous plait ? Hier encore on était en train de bronzer tranquillement à Ibiza et d’un coup pouf il faut ressortir les collants ! Bon la bonne nouvelle dans tout ça c’est qu’on profite de cette période pour ralentir un peu le rythme, se retrouver à la maison, à prendre soin de soi, son corps, son âme, d’une façon différente qu’en été où on recharge les batteries et c’est plutôt cool aussi. C’est donc parti pour le nouvel article du jour, que tu sois au chaud sous ton plaid ou dans le métro, thé à la main et téléphone dans l’autre.

 

Cette semaine, il me tenait à cœur de revenir sur le rapport que l’on a avec le regard des autres, les pensées des autres, et tout ce qu’ils pourraient dire à notre égard, surtout de pas très positif. On va donc bien sur aujourd’hui, parler de… : notre égo. Ça faisait un petit moment qu’on n'avait pas parlé de lui et pourtant, il est clairement le point principal de cette gueguerre qui nous empêche de nous sentir sereine, apaisée et indépendante de toute opinion différente ou autre que la nôtre. 

 

Laisser notre égo nous dominer, ça va être par exemple nous empêcher de nous lancer dans quelque chose de nouveau parce qu’on n’est pas une experte en la matière et qu’on ne va pas exceller. Ça a d’ailleurs été longtemps mon cas : j’étais clairement dominée par ma peur (et mon égo) avant de lancer TU ES ASSEZ. Parce que partager son expérience, se confier, montrer le chemin mais également montrer sa vulnérabilité n’était absolument pas quelque chose de facile ou de commun pour moi, qui refusait toujours de montrer mon côté sombre ou moins pétillant, plus négatif, à qui que ce soit. Et donc avant de me lancer, cette peur elle disait « avant d’aider des gens que tu ne connais pas, tu vas devoir affronter ceux que tu connais » et cette pensée, elle me terrorisait. C’était donc la raison qui faisait que je restais dans mon coin, à envisager « avec des si ».

 

Jusqu’au jour où, aider est devenu plus important que le jugement qu’on allait pouvoir émettre, car ma mission, le fait de me savoir utile comptait plus que tout.

 

Ça a été la même dynamique au moment de lancer le Podcast : ce format j’en rêvait depuis des mois et des mois, si ce n’est des années, et pourtant quelques mois après l’avoir lancé, je l’ai mis en pause. Une longue pause. Au début, par nécessité d’alléger mes journées qui sont très vite devenues beaucoup plus remplies que ce que je ne pouvais assumer seule, et ensuite, par peur de reprendre, de revenir, de ne pas être légitime, de ne pas être aussi calée en montage que d’autres podcasteuse, etc, etc. Encore cette histoire de comparaison malsaine n’est-ce pas ? Si tu n’as pas la ref, je te laisse écouter l’épisode 23. Bref, tout ça pour dire que l’exercice de s’exposer face à de la potentielle critique, qu’elle soit constructive ou non, ce n’est jamais quelque chose de simple, pour personne.

 

Mais avec le temps, l’expérience et maintenant la pratique : sur les réseaux, et dans ma création de contenu en général, j’ai compris deux choses :

1/ C’est qu’il y aura toujours deux catégories de critiques à distinguer. Celle des gens qui t’apprécient, apprécient ce que tu fais, le message que tu véhicules, bref qui te suives et sont derrière toi et qui ont sincèrement envie de t’apporter leur soutient et leur avis, en toute bienveillance dans le but de t’aider. Et même si je croyais au début, que TU ES ASSEZ c’était mon bébé et que je pouvais gérer, j’ai réalisé au fil du temps que cette aide spontanée la, était plus que la bienvenue, c’est celle qui nous aide à faire un pas de côté pour prendre du recul, celle qui ranime notre créativité et nous pousse plus loin dans nos démarches, dans nos actions. Alors, merci à toutes ces personnes profondément bienveillantes qui existent, nous sommes chanceux de vous avoir.

 

2/ Et puis, il y a l’autre catégorie, celle qui fait passer la critique pour une chose mauvaise, parce que dans leur bouche ça sonne comme mauvais, eux ce sont la catégorie des pas constructifs, pas gentils, pas bienveillants, pas capables de faire ce que tu fais mais qui sont quand même contents de donner leurs avis que personne absolument personne n’a sollicité. Ouais, c’est un titre plutôt long je te l’accorde, du coup on pourrait juste l’appeler la catégorie des rageux, ou des jaloux, au choix. 

 

Dans l’épisode de podcast 23, on parlait justement des personnes qui se comparent et qui vont avoir un comportement toxique à ton égard (encore une fois si tu n’as pas la ref, je t’invite vraiment à écouter cet épisode, tout plein rempli d’exemple pour illustrer mes propos), ces mêmes personnes qui vont se faire une joie de t’envoyer un bon petit pique en plein coeur, juste comme ça « mais pour ton bien ma bichette tu sais ».

 

Quelqu’un qui commence sa phrase en disant que c’est pour ton bien, signifie dans 4 cas sur 5 que c’est le contraire qu’elle espère.

 

C’est de la fausse bienveillance, de la jalousie et de l’envie déguisée. C’est cette personne qui va chercher à te connaître et qui va ensuite utiliser tes faiblesses pour te blesser dès qu’elle en aura l’occasion, mais toujours de manière passive-agressive, qui fait que c’est toi qui culpabilisera d’être la méchante alors qu’elle était là pour t’aider bichette. Dans ce cas de figure, j’ai envie de te dire que la méthode la plus simple pour faire face à la critique serait de t’éloigner de cette personne, prendre tes distances pour de bon et mettre des limites afin qu’elle ne recommence pas de si tôt. Et crois-moi, je sais que parfois c’est beaucoup plus compliqué qu’il n’y parait, encore une fois parce que toi, âme gentille et généreuse que tu es, tu ne vois pas forcément le mal, tu ne discerne pas le coté toxique de ce mécanisme, tu crois aux secondes chances (que tu renouvelles encore et encore et encore) et surtout tu ne comprends pas l’intérêt de la méchanceté gratuite, alors tu te dis que tu as peut être mal compris, tu trouves des excuses pour la personne et la réplique en question, tu te remets toi en question mais surtout, plus que tout, tu prends à coeur cette critique et l’ancre en toi comme une vérité. C’est comme ça que j’en suis arrivée à croire dur comme fer que mon hypersensibilité était de la faiblesse à base de « tu vas encore pleurer là » ou « va falloir t’endurcir ». 

 

Et donc justement parce que ce n’est pas si facile qu’il n’y parait et parce que je veux que tu puisses changer ton regard et ta vision sur la critique j’ai eu envie au travers de cet épisode de te partager des clés pour justement faire face à la critique, telle qu’elle soit : 

 

1/ Toujours partir du principe +

Pour commencer, toujours partir du principe que la personne agit avec amour et bienveillance envers toi. Tu n’es pas dans la tête de toutes les personnes avec qui tu échanges, et s’il y a bien quelque chose que j’ai retenu de mes diverses expériences professionnelles et personnelles c’est qu’il ne faut rien prendre personnellement justement. Bien sur, si quelqu’un se pointe en face de toi et te balance un « t’es moche » en pleine face, tu as le droit de penser que ça n’avait rien de constructif et de bienveillant et dans ce cas, tu es autorisé à te mettre à son niveau de maturité et de répondre « c’est celui qui dit qui y est » avant de tourner les talons. Mais sinon, dans la vraie vie, comme normalement ce genre de choses n’arrivera pas, on sera plutôt sur une critique, dans la base ou dans une direction constructive. A ce moment-là, part toujours, toujours toujours du principe que cette personne agit pour ton mieux, pour te pousser vers le meilleur. En changeant ton interprétation de « elle me cherche toujours des noix » aka la défensive vers « j’entends, je note, et on verra si ça peut me servir un jour » aka vision positive tu vas vraiment observer un changement dans tes réactions. Et qui sait, peut être que ces « critiques » étaient en fait des conseils, des observations que tu vas désormais percevoir comme tel et plus tu les appliqueras ou laissera couler moins il t’atteindront comme une attaque personnelle à ta personne qui réveille ta blessure de « je ne suis pas assez ». Parce que finalement ton égo, c’est ça qu’il vient faire à chaque « critique » : te mettre sur la défensive car c’est précisément ta blessure de ne pas être assez ceci ou trop cela qui se réveille. Et cette blessure, on va parler de comment la traiter dans le point numéro trois mais d’abord place au point numéro deux, du coup, logique.

 

2/ Agir avec empathie

Toujours. Agir avec empathie devrait être la base de toute ta vie entière mais spécialement dans le cas d’échange avec les autres. Je m’explique : si tu envoies bouler toutes les personnes qui veulent apporter leur aide, ou leur avis ou whatever, alors tu vas très vite te renfermer sur toi-même et constituer un cercle de confiance avec toi, et toi-même. Ce n’est pas le but recherché n’est-ce pas ? Prendre confiance en soi et s’affirmer n’a jamais et ne voudra jamais dire, se sentir supérieur et se couper de l’avis et de la vie des autres. Mais au contraire, si tu agis comme tu aimerais qu’on agisse avec toi, c’est à dire te mettre à la place de cette personne et anticiper la façon dont tu aimerais qu’on te réponde dans ce cas de figure. Parce que rappelle-toi : on part du principe que cette personne est amour et bienveillance, et qu’elle dit ce qu’elle dit pour ton bien, pour t’aider, alors dans ce cas, qu’aurais-tu envie de lui répondre ? Le point numéro 1 il va vraiment te permettre de changer ta vision des choses. D’abord, ça va permettre d’adoucir ton rapport aux autres, car partir du principe qu’on te veut du bien va forcément faire grandir ton empathie, ton envie d’écouter et de comprendre. A la différence de ton égo négatif qui lui va seulement chercher à écouter pour répondre, pour se défendre. Et c’est de là que vienne principalement les problèmes de communication : se défendre d’une attaque qui n’était même pas une attaque, la personne se sent alors blessée et contre-attaque à son tour, le tout devient plus piquant, plus toxique, on en arrive à des tas de non-dits, des malentendus, des trucs qui froissent et des au revoir remplis tout plein de rancoeur pour de base une phrase. En partant du principe que cette personne est ta meilleure amie et ne souhaite que ton bonheur, faire grandir ton empathie ne va même pas être quelque chose que tu auras à faire mais quelque chose qui va se faire naturellement. Et là si tu te dis, en pensant à une personne en particulier « non mais elle vraiment, je vois pas ce qu’il y a de bienveillant dans ses remarques » ou encore « je sais qu’elle dit ça pour me faire du mal » alors deux options s’offrent à toi :

 

  •  La première c’est que tu sais au fond de toi que cette personne n’est pas bénéfique pour toi, voir même toxique, ce qui ne signifie pas forcément qu’elle est toxique avec tout le monde juste que vous ne vous correspondez pas et que c’est ok on est pas fait pour s’entendre avec tout le monde, même si c’est sa famille, même si on se connait depuis 20 ou 30 ans. C’est ok parce qu’on change tous les jours et parfois on veut s’accrocher par nostalgie, par habitude, mais si ça ne colle plus, ça ne marche plus, c’est aussi ok en tout amour, pour soi, pour la personne en face de lâcher et de faire de la place pour des personnes qui te correspondent désormais davantage. Bref, c’est un autre sujet qui mériterais d’ailleurs un épisode à part entière donc on y reviendra sans doute un jour mais quoi qu’il en soit tu as donc l’option un qui est de réaliser que cette personne ne t’apporte pas du positif mais au contraire te bouffe ton énergie, te colle une boule au ventre, te mets sur la défensive et dans ce cas ma douce il est temps de poser tes limites (on me dit dans l’oreillette que même si j’ai déjà fait du contenu à ce sujet à plusieurs reprise, notamment dans les newsletter et bien un nouvel épisode durant le mois de novembre sortira à ce sujet). Donc mettre des limites et / ou prendre tes distances. Je sais que ce n’est pas simple, et que ça ne se fera pas du jour au rendement mais réfléchit plutôt à ce que tu as a gagné plutôt qu’à perdre en te délestant de ces énergies négatives. 

 

  •  Et la deuxième option c’est de comprendre, réellement comprendre que les propos en question, de la part de cette personne, ne parlent pas de toi, mais parlent d’elle. Je me répète encore une fois : au travers de ta situation, ce sont ses propres peurs à elle, ses propres désirs, ses propres envies à elle, à cette personne, qui parlent et non tes peurs ou tes envies ou tes besoins à elle. Lorsqu’une personne par exemple te fait une remarque sur ton poids, elle ne s’inquiète pas de ta santé mais ça répond à ses croyances et son rapport au poids à elle. Idem sur les remarques concernant ton célibat : c’est elle qui à une vision tronqué de ton choix d’être seule pour le moment, et qui a probablement des problème à régler avec elle-même sur ces croyances et son besoin permanent d’être avec quelqu’un. Et ainsi de suite. Essaye donc de garder en tête, lorsque tu te prends une pique bien salé assez désagréable que ça, ça parle de cette personne, et pas de toi, et que toi tu es plus intelligente, plus ouverte, plus emphatique et plus bienveillante que ça, et que tu te connais, tu sais qui tu es, ce que tu veux, ce que tu vaux, et tu prends cela avec le sourire parce que qu’elle meilleure réponse ? 

 

Et on en arrive donc naturellement au point numéro 3 donc je te parlais dans le point numéro 1, celui qui va te permettre de te protéger contre ces trois types de personnes, les maladroits, les frustrés et les imbéciles.

 

3/ Te protéger

Quand je parle de protection c’est bien sur de te protéger d’une remise en question permanente face à tout ce que l’on pourrait dire de toi, que ce soit devant toi ou non. Parce que q’il y a bien une chose que tu ne peux pas contrôler ce sont les pensées des autres, les sentiments des autres, les ressentis des autres et donc ce qui va en découler à savoir leurs mots et leurs actions. Tu dépenserais, et tu le sais déjà car tu en a fait l’expérience, une énergie folle à vouloir contrôler l’impossible, à essayer de garder une main sur tout ce qui ne t’appartient pas. Et cela va alimenter ton besoin de contrôle, contrôler ton image, ce que tu fais ou dis pour les autres, et ce besoin permanent qu’ils t’acceptent, te valident et te valorisent, chose que toi tu n’arrives pas à faire par toi-même, pour toi-même. Et donc, si tu ne t’acceptes pas telle que tu es, alors forcément, à la moindre petite remarque de Pierre, Paul ou Jacqueline, tu vas te sentir attaquer, prise dans un tourbillon de remise en question dont les seules personnes capables de t’en sortir seraient les personnes qui t’ont poussé dans ce tourbillon. Parce que quand bien même ta meilleure amie te rassure et te réconforte, si ce mec t’as fait une remarque horrible, tu ne vas retenir que ça, et classer cette remarque à l’ordre des vérités, sauf si lui s’en excuse platement et te dis qu’il a complètement changé d’avis. Tu comprends en m’écoutant qu’on a deux problèmes ici : le premier problème est que tu donnes un rôle à des gens extérieurs qui devraient en réalité être ton rôle, et deuxièmement tu demandes à la personne qui frappe, d’ensuite te guérir. Le seul et unique moyen de te sortir de ce cercle vicieux qui demande un contrôle permanent de toi, une énergie de folie à réfléchir à ce que les autres pourraient penser ou dire de toi, et un besoin de validation et reconnaissance de l’extérieur c’est d’apprendre à te connaitre et de te construire une confiance en toi en béton. C’est le seul et unique moyen. Parce que ce n’est pas parce que tout le monde t’aimeras que tu te sentiras en sécurité. Ce n’est pas parce que tout le monde te valideras que tu te sentiras capable. Ce n’est pas parce que tout le monde te vénérera à ne dire que du positif sur toi que ton regard sur toi sera plus tendre et bienveillant. Tu ne pourras jamais faire l’unanimité de même que toutes les personnes sur cette terre ne font pas l’unanimité pour toi, regarde Poutine par exemple. Tu ne pourras pas mettre tout le monde d’accord, tu ne pourras pas contenter tout le monde, tu ne pourras pas avoir un rythme de vie sain et paisible tant que tu laisseras ton pouvoir dans les mains de d’autres personnes. Te connaitre, connaitre ton fonctionnement, tes blessures, tes croyances, travailler dessus, ça c’est en ton pouvoir, ça c’est possible, ça c’est ton devoir et ça c’est de l’énergie investie pour de réels résultats. Connaitre ta valeur, celle qui réside à l’intérieur de toi et qui en aucun aucun cas ne dépend de ce que tu fais ou possèdes, c’est ça qui va te permettre de

1. Attirer des personnes bénéfiques à toi, qui te ressemblent et qui te portent vers le meilleur

et

2. Ne pas te laisser atteindre ou déstabiliser par de la méchanceté gratuite, de la bêtise, de l’envie ou de la jalousie.

 

C’est en sachant qui tu es et ce que tu mérites que tu seras en capacité de te détacher de ce qui n’est pas bon pour toi.

 

Car il y a une véritable différence entre avoir besoin des autres, et vouloir être avec les autres : le premier cas de figure c’est que tu dépends de quelque chose que tu ne peux contrôler, même avec toute la meilleure bonne volonté du monde, et la seconde c’est que tu choisis uniquement du plus, plus de joie, plus de sérénité, plus de bonheur, plus d’amour, plus plus plus. C’est donc le point numéro 3 de cet épisode mais surtout le point numéro 1 de toute ta vie : la seule et unique solution de vivre ta vie, celle qui est faite pour toi, de la vivre paisiblement, sereinement, dans l’amour et dans la bienveillance et bien c’est en vivant avec toi-même dans l’amour et la bienveillance en t’acceptant complètement, sincèrement, authentiquement et à 100% telle que tu es : parfaite dans l’instant, assez depuis toujours et complètement à la hauteur pour toujours.

 

Et enfin, j’ai envie de terminer cet épisode en te souhaitant une très belle semaine mais surtout en te disant que nous sommes aujourd’hui le 25 octobre, et que cet épisode est le 25e. Je ne crois pas au hasard, seulement au rendez-vous et à la fin de la préparation de cet épisode je suis allée voir la signification du chiffre 25 et c’était tellement frappant pour moi que je veux te le partager, alors voici ce que le nombre angélique 25 signifie dit que vous passez par des changements majeurs dans votre existence, mais vous devrez toujours vous attendre au meilleur, et vous serez récompensé par votre optimisme. Surtout, vous ne devrez pas avoir peur de ces changements vu qu’ils seront bénéfiques pour votre vie. À la moindre peur ou appréhension, sollicitez vos anges gardiens en faisant une prière. Ils vous donneront leurs conseils et leurs aides par l’intermédiaire de votre intuition. Par le biais du nombre angélique 25, vos anges gardiens vous demandent d’avoir confiance en vous et vous encouragent à rester fort à mesure que votre existence change pour le mieux. Les changements arrivent de façon inattendue, mais restez toujours confiant parce qu’ils seront de nature positive. Vous êtes en sécurité et protégé par vos anges gardiens tout au long de ces différentes transitions.

 

Sur ces douces paroles je te souhaite une très très belle semaine, je te dit à la semaine prochaine pour débuter le mois de novembre ensemble. Je t’embrasse de tout mon cœur, avec tout mon amour, à mardi prochain !

 

Avec tout mon amour, 
Mélanie

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